hello à tous

hello à tous

alors alors, …
53 ans, mais je me soigne :yahoo:
prof de menuiserie charpente bois
nous habitons une petite bourgade en Picardie,
je roule avec un Patrol 3.0 DI :frowning: que j’ai acheté après avoir roulé 8 ans avec un B2500 :exite: que je regrette maintenant
les petits bricolages que j’avais été amené à faire sur le B2500: lames de ressort sur le pont arrière, alternateur, et le pompon, … le pignon de 5ème, surtout quand t’es po mécano pour deux ronds, l’aventure c’est l’aventure
le but du jeux dégotter un B2500 lui coller une cellule sur le dos et pouvoir tracter le bateau en même temps

voili voilou

a+ Daniel

:hello: de Normandie :tchin: :tchin:

Salut et bienvenue ici!
Chouette, un nouveau plaisancier sur le fofo! T’as quoi comme bateau?! :wink:

:hello: :tchin:

:hello: :hello: :hello:

:tchin: :hello:

:hello: :tchin:

Salut à tous et salut à toi et bienvenue.

:hello: De Normandie :hello:

alors pour le bateau, nous sommes des adeptes du semi rigide et pour être plus précis, .
Bateau:NARWHAL HD 580 gris + GPS carto lowrance 10 C + sondeur 250 garmin + VHF et debimêtre navman + réservoir 100 litres et quant au bouzin 115 CH Suzuki

ça c’est pour situer le genre de ballade

et ce qui suit c’est pour les courrageux qui aiment lire :smiley:

notre bateau s’appelle Siddhârta
Récit :



Premier jour :

Mise à l’eau à Plouer sur Rance, les bateaux seront mis à couple pour le mouillage.

Première expérience pour Daniel à l’utilisation de l’annexe gonflable de Jean-François. Un grand moment de solitude pour Daniel au regard de son inexpérience au maniement de ce type d’engin flottant. Evidemment Jean-François, Chloé et Simon qui se bidonnent comme des tordus sur la cale.

Le temps d’aller reporter les remorques et les “taxis” à leur lieu de stockage, Chloé et Simon seront de surveillance de nos “fier destriers”, et feront plus ample connaissance, “en tout bien tout honneur” soit dit en passant.



C’est parti !

Descente de la Rance à petite vitesse et attente à l’écluse. … ça papote, ça boit une bière en attendant l’ouverture des portes vers la grande aventure.

16 heure, grand soleil et mer belle, rapide pose à Saint Malo pour le plein de Guelan et le complément pour Siddhârta.



Première rencontre au port des sablons. Alors que pas moins de 5 bateaux attendent pour remettre du carburant, un local sûr de son bon droit et justement bien droit dans ses bottes décide de griller la priorité à tout le monde pour faire sa vidange. Il tente de s’insérer dans la queue par l’avant en justifiant sa manœuvre « c’est juste pour une vidange ».

Discussions, explications… “combien de temps ça va vous prendre de faire la vidange” " ben le temps de faire une vidange !"… rires dans l’assemblée. Malgré ses efforts (20 min… pas moins) pour griller tout le monde Mr Vidange finalement attendra non sans prendre à témoin d’autres locaux dont le gars du port du manque de savoir vivre de ces touristes….



Première leçon de navigation : la vidange au mois d’aout tu éviteras. Une vidange tous les autres mois de l’année tu pourras.



Nous passons les cailloux de Saint Malo et cap à l’ouest. Nous filons tranquille 15, 16 nœuds sur Fort la Latte et le cap Fréhel.

Pose du soir sur une plage au cap d’Erquy et première installation du bivouac, tout semble tranquille, “le pied, le panard” en somme. Plage à l’est nous aurons le soleil en pleine figure pour le matin. 22 heures tout le monde dans les duvets, demain il faut se lever de bonne heure pour partir avec la marée.

0 heure deux quads arrivent sur la plage et vont faire du gymkhana pendant 1 heure, ensuite c’est une bande de jeunes en goguette qui continuerons le raffut, Jean François dort mal, tandis que Daniel aura dormis comme un bébé.

Deuxième jour :

Départ vers 9 heures.

Beau soleil et mer belle.

Etape à l’Ile à bois

Petit pose au nouveau port de Saint Quay Portrieux et nous filons vers un petit havre dont Jean François à le secret pour la pose déjeuner. Petite sieste réparatrice pour Jean François et quelques lancés de leurres pour Daniel, … sans grand succès.

Nous reprenons notre route vers 14H30 en direction de Bréhat et première tuile pour Siddhârta, carto en panne. Daniel est d’une humeur massacrante, un matériel qui n’a à peine que 30 heures de fonctionnement, petit passage par Paimpol pour essayer de réparer, …sans succès, cela se terminera par l’achat de cartes papier, … beaucoup moins pratique sur un semi rigide, Daniel est franchement inquiet et se questionne sur la poursuite de l’aventure.

En descendant le Trieux Siddhârta aura le droit à un petit contrôle de la Gendarmerie Maritime, …tout est OK, et ils ne nous retiendront qu’un 1/4 d’heure le temps de papoter et de leur expliquer ce que nous faisons, ils nous préviendrons aussi que la mer ne sera pas facile pour le lendemain (ce qui se révèlera plus qu’exact).

Nous poseront le bivouac sur le sud de l’ile à bois pour une nuit tranquille, comme on dit “la nuit porte conseil”.

Finalement la décision sera prise de continuer au moins jusqu’à Roscoff malgré la panne de carto, après on verra…



Deuxième leçon de navigation : Pour un problème de carto, un raid tu n’abandonneras pas.

Troisième jour :

Départ vers 9 heures.

Etape à Ile Grande

Beau soleil et mer inhospitalière (adjectif fortement teinté d’humilité dans la mesure où premièrement, on trouve toujours pire en termes de météo où deuxièmement, on trouve toujours des internautes qui ont vus des vagues au moins aussi grosses que leur ego).

Les bateaux se défendront finalement pas si mal que ça dans ce cahot, à aucun moment Siddhârta ne se retrouvera en difficulté bien que nous prenons une bonne “branlée” quand à Guelan plus court et moins motorisé aura un peut plus de difficultés, mais sans être alarmant.

Mais bon dieu que c’est beau la mer qui vient battre sur les cailloux (En ce monde, rien de plus souple et de plus faible que l’eau; cependant aucun être quelque fort et puissant qu’il soit, ne résiste longtemps à son action. Les vagues de l’océan viennent à bout des falaises les plus dures).

Pose déjeuner sur l’ile d’Er, on en profite pour faire sécher le matériel et faire du cerf-volant.

Autre pose sur Ilec. Puis la décision est prise de faire route directement vers l’ile Grande (le temps ne permettant pas la navigation bucolique le long de la cote de granit rose).

La décision est prise de passer la nuit dans un camping, la douche commence à devenir indispensable, ça commence à sentir le vieux fennec grabataire sur Siddhârta.

Arrivée sur ile grande à port Gelen et coup de téléphone à notre ami Richard, qui nous conseillera le camping municipal mais qui se trouve sur la face ouest de L’Ile Grande.



Pour contourner l’ile, nous passons par une passe un peu scabreuse entre ile Grande et ile Aganton, un mur d’eau devant, un mur d’eau derrière, il n’y a plus à tortiller du croupion et GERONIMOOOOOOOOOOOOOOO à font les ballons pour passer ce mauvais passage. Pus tard nous apprendrons que les locaux ne passe jamais pas cette passe et font route par le sud de l’ile Losket… oups !

Mouillage des bateaux et installation du bivouac.



Un habitué nous préviendra plus tard que les bateaux sont mouillés au dessus de pavés, il prêtera son annexe Fun Yack à Daniel et deuxième galère, Daniel perd une rame, la rebelle est sournoisement tombée à l’eau pendant qu’il essayait d’agripper Siddhârta. Il ne sait évidemment pas godiller, pendant ce temps un grand gaillard et les gamins, hilare se bidonnent sur la grève pendant que Daniel dérive inexorablement vers la plage. La rame elle flotte toute seule sans solution d’être rattrapée. Le propriétaire du Fun Yack est deconcerté. C’est finalement Jean François (enfin lavé et propre) qui magistralement sauvera la situation en récupérant le naufragé et la rame rebelle avec l’annexe glonflable.





Petite surprise au retour à terre, le grand gaillard en question (celui qui se bidonnait) n’est autre que Christophe (Pejy) qui est passé avec sa femme Sylvie nous faire un petit coucou.



Richard est arrivé entre temps la glacière bien chargée de victuaille, artchhhhhhhhhhhhh ça va nous changer de la conserve.

Finalement Christophe et Sylvie nous inviterons à finir le diner au chaud dans un bungalow qu’ils ont loué pour leurs vacances.



Troisième leçon de navigation : si deux rames sont trop pour ton cerveau, la godille tu apprendras.



Petite bouffe et grosse rigolade, ça papote bateau, mer, pêche, une soirée simple conviviale mais tellement extra …

En relatant toutes ses mésaventures, GPS carto en rade, perte de la rame, Richard aura cette réflexion à l’égard de Daniel, “la chanoiritude te poursuit” grosse rigolade et bonne humeur, finalement faut prendre les choses comme elles viennent et les gérer au mieux.



Quatrième jour :

Départ vers 14 heures

Etape à Kersaliou

Beau soleil et la mer s’est calmée.

Les bateaux étant au sec nous en profitons pour une petite balade à pied sur l’ile Aganton, c’est beau, sauvage, les capitaines sentent le gel douche, du vrais luxe en somme.

Les bateaux étant au sec, ils seront rechargés facilement à pied

Nous sommes prêts pour l’étape suivante qui nous emmènera jusqu’à Roscoff.

Passage par Trébeurden pour les pleins de carburant des bateaux, 1,58 euro le litre du “précieux élixir”, du vrai luxe mais pas moyen de faire autrement

Christophe nous accompagneras sur son Solent jusqu’à la pointe de Primel.

Nous poursuivons notre route jusque dans la baie de Morlaix, nous arrêtons Kersaliou, … Kersaliou ! … tout le monde connais Kersaliou enfin ! … Haut lieu mythique de duels dantesques à coup de cannes à pêche et de leurres souples, le paradis du X layer et du Shad, l’Eden du Lip westh et du Sand eel, l’adversaire y est redoutable de puissance et de malice, monseigneur Labrax s’y défend avec ardeur lors de cet Open Bateau Rouge.



Petit coup de téléphone à un pote de Richard.

“Allo Patrick, salut nous sommes les potes de Richard qui faisons le Raid des Potes”

“Ah oui Richard m’a prévenu de votre arrivée, vous pourrez planter la toile dans le jardin”

Nous mouillons les bateaux dans le port de Saint Pol de Léon et chargeons tout notre bardas dans le fourgon de Patrick, et quand on dit tout le bardas le fourgon en avait “ras la gueule”.

Comme dit Richard, les amis de mes amis sont mes amis, … et on a forcement un ami dans les amis de mes amis"

Et bien pas manqué, Jean François en discutant avec Patrick se sont retrouvé de connaissance, les deux lascars avaient fréquenté le même “établissement carcéral”. Bref des potes qui se sont retrouvés.

Et ça papote et ça papote, et ça s’échange les vieux souvenirs, de cantine, les cassoulets infectes qui passent par dessus les murs d’enceinte, et blablabla et blablabla.

"Et tu te rappelles de “machin, une vraie teigne, …”

“Un peu que je m’en rappelle, …”

Et Patrick

“Bon c’est pas le tout, ce soir c’est patates sautées/jambon”

Et voila le Daniel embauché à l’arrachage des patates, ensuite la pluches des patates, de son statut d’apprenti marin, le voila passé apprenti agriculteur, pour finir apprenti cuistot, … mais pour ce qui est de la gamelle il n’a pas besoin d’apprentissage, là ça marche tout seul …

On se couchera plus tard que d’habitude ce soir là, une rencontre improbable, qui se finira par :

“Faudra revenir nous voir”

Patrick et Domm, un grand grand merci à vous deux, pour votre accueil, mais surtout pour votre bonne humeur, la chaleur qui dégage de votre maison …

Le lendemain Patrick nous prêtera son fourgon pour nous permettre de chercher du carburant dans un supermarché, …



Quatrième leçon de navigation : les patates avec le willy waller tu éplucheras.





Cinquième jour :

Départ 9 heures

Mer belle mais temps gris.

Etape l’Aber Wrac’h

Nous passons la passe de l’Ile de Batz et continuons notre périple en longeant la cote, passage devant port de Pontusval à Brignogan, l’Ile Vierge et son phare, contournement par l’ouest de La Malouine longer l’Ile Stagadon et plonger vers le port, les bateaux du Père Jaouen sont sur leur bouée.

(Petit lien pour les curieux) http://www.belespoir.com/index.html

13h30 coup de téléphone de Richard

“bin alors vous êtes ou”

“À l"Aber-Wrac’h”

“On devait faire route ensemble”

Nous avons oublié Richard, on avait dû en jacasser lors de la soirée chez Christophe et Sylvie, mais le jour de mer suivant avait tout effacé. Richard nous rejoindra donc 3 heures plus tard accompagné de son féroce molosse à quatre pattes, que dirions-nous sa bêêêêêêête enragée, enfin son inséparable Tino, … qui ne connaît pas Tino le terrible, ne connais pas la peur, si de loin vous croisez ce terrible chien de guerre, fuyez braves gens les crocs acérés comme des rasoirs de la bêêêêêêêête , nombres d’enfants inconscient de l’effroyable danger, manchots maintenant, errent hagards et terrifiés sur les ports bretons.

Mais revenons aux choses sérieuses.



Nous avons un spécialiste de la pêche du labrax tant convoité, aussi partons nous vers ces lieux secrets ou se cache ce fameux Monseigneur pour afficher le score de :

  • 1 Richard

  • 0 Jean François/Daniel



    Et c’est pourtant pas faute d’avoir essayé, mais la “chanoiritude” poursuivra Siddhârta jusqu’à ce jour.

Amarrage des bateau au ponton de lAber-Wrac’h, diner (miam entrecôte) et couché chez Richard.

Finalement ce milieu de parcours ne se sera pas déroulé comme prévu, mais qui le regrette ? En tout cas ni Jean François et ni Daniel.



Cinquième leçon de navigation : Qu’il fasse beau, qu’il fasse mauvais si t’es avec Richard du poisson tu n’attraperas pas.

Sixième jour (dimanche, la précision a son importance)

Beau soleil et mer belle.

Départ vers les grands espaces Kereon, Ouessant, Molène, mais avant, le plein de carburant; mauvaise surprise les pompes sont en pannes au port de l’Aber Wrac’h.

Direction Lanildut au fond de l’Aber Ildut.

Nous passons l’Aber Benoit et au fond le repère caché dans célèbre pêcheur invétéré, dont nous tairons l’identité par souci de discrétion.

Une halte sur l’épave de l’Amoco qui gît au fond. Le coin est assez brassé par les courants. Kersaint, Argenton et son phare Le Four, Prospoder, et enfin Lanildut pour atteindre cette champleure magnifique, source d’alimentation de nos chers mécaniques (s’rais bien un peu pouete à mes heures finalement, MDR).

La mer est basse, l’objet de nos désirs cinq mètres plus haut sur le quai, nous amarrons nos bateaux au ponton et nous dirigeons vers LA POMPE A CARBURANT, la main fébrile, la CB prête à faire feu et là consternation, (et c’est là que la précision de départ à son importance), …DIMANCHE… jour de repos normal de tout travailleur, le préposé à la distribution du carburant est absent. Notre bon samaritain du jour sera encore notre pote Richard. Ce dernier prête des bidons qu’il avait sur son bateau, prête aussi sa voiture pour se rendre au premier supermarché du coin pour dénicher le précieux élixir.

Les pleins faits nous nous dirigeons plein pot vers le Fromveur direction Kéréon. Une mer bouillonnante, étonnante, comme si l’eau remontait des fonds marins,… moment intense, magique, inquiétant,…,



Nous quittons l’endroit et décidons de nous rendre directement à Molène. Notre déconvenue avec le carburant ayant consommé quelques heures. Ces dernières nous auraient sans doute permis d’aller boire une bière à Ouessant. Ce sera pour une autre fois.

Nous poserons plus tard notre bivouac sur Molène sous le soleil.

Tour de l’ile à pied, nord, ouest et sud sont resté sauvage … la vue vers le nord nord/ouest y est tout simplement époustouflante, Balanec, Banec, Kéréon et Ouessant,…

Nous aurons la mauvaise idée de mouiller nos bateau sur la dernière partie du port, sur la partie sud/est de l’ile, en effet en marée descendante se crée près de l’ancienne cale un violent courant, Siddhârta pourtant doté d’un vigoureux mouillage, ancre de 8 kg + 15 M de chaîne de 8 + 30 M de bout n’auront pas suffit à le retenir et s’est fait embarquer sur une bonne trentaine de mètre, et heureusement que les bateaux étaient à couple sinon nous aurions retrouvé Guelan chez les américain, avec son mouillage plus léger; imaginez la situation, Daniel le nez dans son assiette de lentille/petit salé qui lève les yeux pour voir les bateau qui se barrent chez l’Oncle Sam, Jean François qui saute dans l’annexe pour récupérer les fuyards et les locaux qui suivent l’opération de sauvetage, un local nous proposera même un de ses mouillage. D’où l’intérêt d’avoir une annexe…

…la chatnoiritude …

Finalement les bateaux seront remouillés derrière le Mole du Bon Retour sur la partie nord est de l’ile, la récupération des bateaux, le mouillage, le retour à pied vers le bivouac nous prendra deux bonnes heures, …et dans tout ça les lentilles/petit salé qui seront refroidis.



Sixième leçon de navigation : Si ton mouillage fait moins de d’1 quintal, à Molène tu ne mouilleras pas.





Septième et dernier jour :

Temps gris et brumeux mer belle

Démontage du bivouac de bonne heure, nous avons donné RDV à Michèle, la femme de Jean François, à 13 heures sur le port du Moulin Blanc de Brest et nous voulons aller voir le phare de Pierre Noire au sud de Molène avant le retour

A l’approche de Pierre Noire, la mer s’est levée un peu et nous ne trainerons pas trop dans le coin. On ne voit plus la cote les nuages sont bas.

Le retour sur Brest se fera sur une longue houle sans grande difficulté, par contre le goulet lui tiendra ses promesses, nous nous ferons secouer bien comme il faut, Siddhârta embarquera un peu d’eau (la malédiction de Brest ??? certains comprendrons, …).



Septième leçon de navigation : Si tu crois avoir le nez trop près de la bouche et que la douche devient nécessaire dans le Goulet tu navigueras.





Quelques lignes, sept jours de mer, des hommes qui se croisent, des images gravées là bien profond et des souvenirs gros comme ça, des souvenirs si précieux.



Un immense merci à tous ceux qui nous ont aidés, accueillis, parfois nourris, tellement souvent fait rire, et certainement enviés.



L’aventure est terminée, les bateaux ont retrouvé leur garage. C’est le retour aux occupations que nous qualifierions d’alimentaires, retour vers le bruit, la télé le traditionnel 20h et son lot de mauvaises nouvelles,

Mais les potes, eux, sont encore sur l’eau.


A+, bon vent, bonne mer à tous ceux qui nous lirons.



Est ce réellement une histoire de potes ou une histoire d’amitié, à vous de juger, moi j’ai déjà fait mon choix.









Pour Siddharta

260 Nautiques

Environ 220 L du précieux élixir

2 packs de bière

1 pack de soda

10 conserves (lentilles/petit salé, cassoulet, tartiflette, …)

5 terrines de paté

4 boites de maquereaux

2 laits concentrés

café soluble

aucun dégat sur le bateau

aucun bléssé



Pour Guelan

260 mn

175-200 l de SP (je ne suis pas sûr)

Du pain

De la bière

Du paté Hénaff, une fricassée de langue de boeuf (à tomber par terre à plat ventre sur le dos avec des patates sautées!), de la compote…du riz, de la ratatouille, du maquereau, du thon…

Pas dépassé les 5000 trs (pourquoi faire d’ailleurs ?)

Une sangle de l’annexe perdue

Aucun blessé

L’attache de baille de mouillage cassée

La bague de transmission du moteur à retoucher (bruit intermitent à cause du sel).

Retrouvé un pote de 1983 !

Réalisé un rêve

bon je me suis un peu étendu :siffle: , mais je n’ai pas résister au plaisir de vous faire partager cette ballade :copain:

a+ Daniel

:hello:

salut et bienvenu :bien:

Chapeau pour le CR! :chaud: :surprise: :wink:

bienvenu ici

:hello: :slight_smile:

Salut et bienvenu :hello:
quel récit :bien:

:hello: