Hier il m’est arrivé un drôle de truc.
Depuis plusieurs semaines ,haute saison oblige ,je roule très peu ,sur de courtes distances et uniquement en ville.
De plus je roule cool ,vu les embouteillages ,changements de vitesses vers 2000 ,2200 tr/mn ,et long moment au ralenti à l’arrêt.
Or hier en rentrant chez moi ,pour me dégager ,en seconde ,je mets le pied au plancher et monte à environ 3500 tr pendant quelques dizaines de mètres.
Et là un magnifique panache de fumée blanche s’élève derrière moi.
Mais pas un peu ,un vrai nuage ,pas gris ,pas bleuté ,blanc persil.
Arrivé au feu rouge le nuage me rattrape ,j’ouvre la fenêtre ça sent rien ,mais rien.
Ca a duré…une éternité … non peut-être dix ,douze secondes en tout.
Puis plus rien ,je suis rentré chez moi normalement ,pas un bruit suspect ,plus de fumée ,rien.
Ce matin j’ai vérifié tous les niveaux ,tout est normal ,rien de suspect sur le moteur ,je suis sorti faire une dizaine kms ,tout baigne.
Mais hier soir en y réfléchissant je me demande s’il ne m’est pas arrivé le même phénomène dans les mêmes circonstances l’an passé ,je n’y avait pas prêté attention en pensant que c’était une mobylette autour de moi qui avait du cracher cette fumée ( et parce qu’ici il y a plutôt intérêt à regarder devant que derrière 
).
D’après nos spécialistes du diesel ,serait-il possible que compte-tenu du taux d’humidité ambiant ici ,et de l’utilisation de la voiture dans les semaines précédentes il se soit accumulé de l’humidité dans la ligne d’échappement qui se soit transformé en vapeur au moment de la "poussée d’adrénaline ". 
Ou alors ,quelqu’un peut-il me dire à quel régime se lance vraiment le turbo , ( j’ai un 144 cv ,2ans , 26,000 Kms ) et si là aussi de l’humidité accumulée aurait pu provoquer le phénomène dans un turbo qui n’aurait pas été sollicité depuis un moment ??? 
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