bjr.
comment differencier le type de differentiel d un D40 ??
j ai un bouton DIFFERX a cote de celui du choix de la traction. Sur le pont arriere c ecrit use only 75w140 synthetic.
cette huile elle est pour les ponts a glissement limite, non ??
donc je ne sais plus si mon pu est a glissement limite ou non
Glissement limité ou auto-bloquant c’est grosso modo pareil nan?! Tu veux plutôt savoir si tu as le blocage de différentiel arrière nan?! 
c est pour savoir s il faut une huile normale ou une huile LSD.
LSD
Glissement limité = auto bloquant je crois bien…
pour ma part je dirais qu’un auto-bloquant bloque le pont en cas de patinage (artistique 
)
et un différentiel à glissement limité ne bloque pas complètement en cas de terrain instable, ça permet de ne pas faire déraper (ou patiner) une roue dans un tournant
Le glissement limité est ce que nous avons sur les D22. Pour ma part c’est un bon compromis en terrain pas trop extrème, mais a ses limites…
il n’éxiste pas d’auto-bloquant à 100% à proprement dit! du moins ceux à friction…car les auto-bloquants mécaniques ne sont à reserver exclusivement à l’usage TT (style détroit locker).
l’auto-bloquant à friction est un glissement limité mais avec un pourcentage plus élevé de la dureté d’entrainement.
de mémoire de ce que j’ai lu sur un autre fofo,les GL sont à hauteur de 15 jusqu’à 35% de blocage alors que les auto-bloquants peuvent monter jusqu’à 65%
je tâcherai de retrouver tout ça sur l’autre forum 
c’était bien mieux expliqué que là
Par abus de langage beaucoup considèrent que c’est la même chose, mais en fait non.
Les véritables “auto bloquants” (type Torsen) sont généralement montés sur les voitures de rallye, ils ont un pouvoir bloquant beaucoup plus absolu que le glissement limité (à disques de friction).
Une petite citation d’une page du forum fullpowerteam.com :
Un différentiel à glissement limité est composé d’un différentiel standard, (qui laisse patiner une roue dès qu’elle perd de l’adhérence) et d’un visco-coupleur.
Celui-ci est constituté de disques entremêlés, une moitié des disques est reliée sur un des planétaires, l’autre moité sur le second planétaire.
Ces disques sont plongés dans une cassette étanche remplie d’huile à base de silicones. Le visco se verrouile plus ou moins progressivement par échauffement en fonction du type d’huile silicone dès que les disques ont suffisamment tourné.
Autrement dit: il faut qu’une roue patine pour que le visco commence à verrouiller le différentiel.
Un différentiel autobloquant est composé d’engrenages, uniquement. Il fonctionne selon le principe de la vis hélicoïdale qui peut entraîner un pignon, mais pas l’inverse (ça dépend tout de même de l’angle du pas de vis). Il existe deux constructions selon ce principe: le Torsen (que l’on trouve sur le pont arrière de la 405 T16) et le Quaife, d’une construction plus compacte qui peut remplacer directement les différentiels standards.
L’avantage de ce type de diff. est que le couple est réparti quasi-instantanément entre les deux roues dès qu’une roue commence à perdre de l’adhérence. Donc, pratiquement aucun patinage d’une roue par rapport à l’autre.
Sur la 405 T16, le Torsen à l’arrière fait des miracles. Il faut vraiment que les deux roues arrières perdent simultanément l’adhérence pour que ça patine. Autrement dit presque jamais en conditions normales. Quand ça arrive, c’est plutôt surprenant, la mienne à tendance à chasser du train arrière.
c’est clair qu’un jour je suis resté calé avec la remorque, perpendiculairement à un terrain boueux en pente
quand je reculais, la remorque freinait, donc glissait vers le bas
quand j’avançais, le temps que le frein automatique se décale, elle redescendait encore de 30 cms, et j’arrivait latéralement à 50 cms d’un arbre
c’est l’entrepreneur qui m’a sorti la remorque avec un land-cruiser 4,2l de 133 cv sans turbo, les doigts dans le nez sans même patiner … parce que lui avait les ponts auto-bloquants
mais sinon le D22 ça marche très bien et me suffit pour mon utilisation perso de menuisier-artisan
On l’espère oui 