vitres electriques

bonjour,j’ai donc un l200 de 97 et je trouve que j’ai les vitres qui forcent beaucoup pour les remontées donc une qui quand je veux la monter,monte 1/4 et redescend meme bouton maintenu fonction lever!!!cela vous dis quelque chose?

Qu’elles marchent mal :smiley:


Le fait qu’elle redescende, c’est la sécurité anti pincement. Dés que ça force elle s’arrête ou redescend.
C’est parfois les caoutchouc qui avec l’âge ou le froid se rétractent et pincent la vitre , met du silicone pour voir si elles montent mieux.

Le Trooper de mon père a le même problème.
Si du silicone peut y faire qqchose, ce serait génial. Quel genre de silicone, où le mets-tu, ça ne risque pas de pourrir la vitre ? :merci:

:smiley: :smiley:
C’est la vitre qui se met de travers.
Tu dois tirer vers le haut ta vitre et entendre
un bruit pour la remettre dans l’axe.
Donc tu mets ta main sur l’arrondi supérieur
et tu tire en arrière lorsqu’elle monte.
Cela veux dire que ta crémaillère deviens veille. :frowning: :frowning:
Mais le moteur est encore bon. :chaud:

du silicone en bombe que tu trouves n’importe où et tu pulvérises dans les guides

+1 idéal aussi sur les joints de porte l’hiver pour qu’ils ne collent pas

:bien: :bien: :bien:

J’aime pô le silicone sur les vitres. :frowning: :frowning:

Tu peux le mettre ailleurs s’y tu veux.






:dehors:

:surprise: Ca y est les modos craquent après 50 balais :moqueur2: :moqueur2:

:smiley: :smiley: :smiley:

Ce qui marche bien, c’est de la paraffine liquide, ca évite que tous colle et ca permet une bonne glisse :wink:

hein? ha bon?
:mrgreen:

le meilleur, quand on en trouve, c’est le bâton de graphite.

… le baton … heu … avec du silicone ? :surprise:

(pas bien sylvain … :pulp: )

:confused: :confused:


:smiley: :smiley:

Les paraffines, du latin parum affinis, “qui a peu d’affinité”, sont des alcanes, à savoir des molécules linéaires d’hydrocarbures saturés à chaîne droite (CnH2n+2).
On distingue principalement les :
Paraffine solide : cires (n=20 à 40)
Paraffine liquide (n=8 à 19)
Les paraffines sont aujourd’hui obtenues en raffinerie à partir du pétrole.
En chimie, le terme est tombé en désuétude. On parle davantage d’alcane pour désigner tout hydrocarbure saturé — cf. l’étymologie — de formule brute CnH2n+2. Mais le terme initial persiste dans les autres domaines de connaissances, sans doute à juste titre car il est « parlant ».
Blanche, assez transparente et inodore, la paraffine fond entre 40 et 71 °C.
Elle ne colle pas. Elle n’est pas un liant, contrairement à la cire d’abeille et certaines cires végétales ; il est dès lors difficile d’assurer l’homogénéité des mélanges, sans un autre additif liant ou dispersant avant sa solidification.
Utilisations [modifier]

La paraffine a été utilisée au xixe siècle pour la conservation de la viande. Elle est utilisée en alimentation comme agent d’enrobage sous le numéro E905.
Il existe aussi l’huile de paraffine, utilisée comme lubrifiant, ou comme laxatif sans calories (car non métabolisée).
La variété employée dans la fabrication des bougies et pour l’imperméabilisation du papier (qui peut être aussi faite avec la gomme sandaraque), fond vers 50-60 °C. Elle est nommée « graisse minérale » ou « ozocérite ». Les bougies ne sont pas uniquement composées de paraffine : un additif très important est employé systématiquement, la stéarine.
Mélangée à du salpêtre (KNO3), la paraffine fait un bon explosif ou fumigène.
La paraffine sert aussi très souvent à couper la gomme de haschich, à cause de la facilité à la faire fondre à basse température, mais aussi pour ses facultés d’enrobage qui évite l’altération du produit.
Elle est aussi utilisée comme combustible pour les cracheurs de feu, car elle ne peut s’enflammer que si elle est vaporisée.

C’est pas faux .