Et le but ultime de notre perible, une ascension d’un 6000 metres (volcan Uturuncu). Pas d’alpinisme, la piste 4x4 nous emmène à 5500 m et nous finissons pas un chemin raide avec un vent à decorner les boeufs
C’est beau , c’est grandiose et ceux qui aiment les grands espaces désert sont servis.
N’ayant pas conduit moi-meme, difficile de donner un avis sur l’effet de l’altitude sur les moteurs, d’autant plus que l’on etait chargé. Neanmoins , on percevait une grande difficulté a gravir les pentes .
Quant à l’effet sur le bonhomme… l’arrivé a la Paz se fait à 4000 m donc l’acclimatation est brutale. Les premiers jours , je n’ai jamais été très bien et j’ai eu le mal des montagnes .En fin de sejour par contre c’etait bon , et l’ascension du 6000 s’est faite sans pb (mais pas en courant bien sur ).
Superbe merci Alfred!!!
Punaise niveau prepa physique vous etes prets pour l’ironman
Les 80 etaient en essence ou diesel?
Car si diesel,avec l’apport d’air que demande ce carburant, il est clair qu’au delà de 3000m même avec un reglage optimisé, ils devaient etre anémiques .
Sur combien de jours au total le périple ?
Vous avez mangé local? Des spécialités ?
le voyage s’est fait sur 21 jours , vols compris (ça prend 2 jours environ pour l’aller-retour avec une escale a Santa Cruz) .
Les vehicules marchent à l’essence (pas de voiture diesel la bas) .
Coté alimentaire, on n’a pas fait de grands restos mis à part un resto argentin de viande le dernier soir à la Paz. Le plus courant c’est la patate, avec de très nombreuses variétés et parfois des pommes de terre deshydratés (pour la conservation) : c’est assez particulier. Du quinoa bien sur , et coté viande du lama, séché ou non . Sans oublier de la truite provenant du lac Titicaca.
pour le physique, le trek nécessitait une bonne condition. En soit, rien de bien difficile pour un bon marcheur , un peu de dénivelé , et pas de chemins difficiles (genre pierriers , grosses marches, escalade). La grosse difficulté c’est le mal des montagnes, le manque d’oxygène qui te rend faible , voir malade ou très malade (embolie pulmonaire). Chaque jour le guide testait notre taux d’oxygène. Sur huit participants, 3 ont été victimes d’une grosse fatigue en milieu de trek dont moi . cela m’a valu un petit passage en caisson hyperbare, un peu de Diamox , et le saut de l’étape du lendemain (faite en Toyota Hilux) . après ça s’est bien passé pour finir le trek.
Ca touche certaines personnes et pas d’autres . C’est difficilement prévisible à l’avance. On peut passer des tests en hypoxie pour sa faire une idée avant de partir, mais je m’y suis pris trop tard .
D’ou l’interet de partir avec un organisme , avec un guide qui connait le pb et qui dispose d’un caisson .
me voila en cours d’installation dans le fameux caisson